Au CHU de Toulouse (Haute-Garonne), une machine permet de séquencer le virus du Covid-19, c’est-à-dire l’analyser. Grâce à ce procédé, les équipes du laboratoire de virologie peuvent chercher la présence du variant britannique du coronavirus et ainsi savoir s’il s’est répandu dans la région. Depuis la mi-octobre, le laboratoire a séquencé 150 échantillons provenant de patients positifs au Covid-19 dans la région. Pour le moment, aucune trace du variant britannique.
Le variant britannique ne remet pas en cause l’efficacité du vaccin. “Nous n’avons aucun élément indiquant que le variant britannique pourrait échapper à la vaccination. Les premières données sont plutôt rassurantes“, explique Jacques Izopet, chef du service du laboratoire de virologie du CHU de Toulouse. Selon les prévisions du laboratoire, moins de 1% des personnes malades devraient être contaminées par le variant britannique.
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